A premier abord, le paresseux ressemble au vacancier qui se repose de son labeur, mais à force de rester au lit, il fait davantage penser au malade immobilisé sur un lit d’hôpital ou au prisonnier enfermé dans une cellule. Mais eux au moins réfléchissent, alors que l’esprit du paresseux est aussi stérile qu’un bout de bois pivotant sur deux gonds.