Un joueur de cartes dissimule ses atouts et un roi souffle le chaud et le froid. Pour vaincre l’adversaire, il faut cacher son jeu, paraître fort ou faible, bon ou méchant. Mais aucun stratège ne maîtrise parfaitement la partie, car l’homme est esclave du péché. Il est ballotté par ses convoitises. Les pensées d’un roi sont particulièrement insaisissables, car le pouvoir corrompt, et le pouvoir absolu corrompt absolument.